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29 octobre 2009

Le potimarron protège-t-il contre le cancer ?

ll semble que le potiron et les courges en général aient aussi un effet de prévention du cancer.
Cela provient de leur richesse en B-carotène et provitamines A.

Riche naturellement en B-carotène, sa densité nutritionnelle élevée en fait un légume à consommer régulièrement
dans le cadre de la prévention des cancers ou des maladies cardio-vasculaires.
La consommation de 150 grammes permet de couvrir la totalité des besoins quotidiens en provitamine.

Augmente nos capacités immunitaires

Dotée de propriétés anti-oxydantes majeures, la provitamine A permet de freiner l'oxygène des radicaux
libres qui se forment lors du renouvellement des cellules. Cela diminue donc altérations cellulaires dans
l'organisme. Un taux élevé de provitamine A dans l'alimentation augmente nos capacités immunitaires et
diminue les risques d'athérosclérose.

Le potiron contient une teneur remarquablement élevée en provitamine A ou carotène
(1,8 à 2 mg aux 100 g), ce qui lui confère sa couleur rouge intense. Il se situe ainsi parmi les
légumes les plus riches en provitamine A, après la carotte, les épinards et le chou.

Des fibres très utiles pour protéger l'intestin

Les courges contiennent beaucoup de sels minéraux, de fibres très utiles pour fonctionnement de l'intestin,
de l'eau et peu de substances énergétiques ( glucides, protides et lipides ).

Le potimarron est un légume magique pour notre porte monnaie

C'est surtout sa qualité de légume qui lui permet d'être parmi les aliments anti cancer.
Cependant son rapport qualité-quantité- prix en fait un légume magique pour notre porte monnaie.
A condition de savoir le cuisiner. Pour vous aider nous vous offrons une réduction ( 10 euros au lieu de 15 euros * )
sur le livre « Régime sans viande de Jacqueline Desbrosses ». Il contient de savoureuses recettes de courges et de
nombreux conseils-recettes anti cancer par les végétaux.

C'est surtout sa qualité de légume qui permet au potimarron d'être parmi les aliments anti cancer.
En outre, son rapport qualité-quantité-prix en fait un légume magique pour notre porte monnaie.
A condition de savoir le cuisiner.

Vous trouverez par exemple de savoureuses recettes sur le potimarron
et les courges et de nombreux conseils-recettes anti cancer par les végétaux dans Le livre
«Régime sans viande» de Jacqueline Desbrosses. Suivre le lien en boite de ressource, pour plus d'information sur ce livre.
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Ecrit par Jean-Yves Fromonot pour Mode de Vie Anticancer. En souscrivant à notre newsletter, vous recevrez gratuitement le livret 'Trois criminels qui se cachent dans votre réfrigérateur' ainsi qu'un lien pour acheter le livre 'Régime sans viande' à prix réduit.

Source: http://www.contenulibre.com/67-nutrition

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29 octobre 2009

Les matières grasses dans l'alimentation

Les matières grasses dans l'alimentation

Les lipides sont les constituants de tous les corps gras et de la partie grasse des aliments.
Ils améliorent la perception sensorielle des plats et leur donnent une texture agréable.
Ils ont un rôle énergétique important (1 g de lipides fournit 9 kcal ou 38 kJ) mais également un rôle fondamental dans la structure des membranes cellulaires, du cerveau et permettent le transport des vitamines liposolubles (A, E, D et K).
Ils sont constitués d'acides gras dont il existe trois types : les acides gras saturés (graisses animales principalement), les acides gras mono-insaturés dont le représentant est l'acide oléique (graisses animales et végétales) et poly-insaturés représentés par les acides gras Oméga-3 et Oméga-6 (huiles végétales et graisses de poissons).

Une consommation excessive de matières grasses et surtout d'acides gras saturés favorise le développement des maladies cardiovasculaires : en effet, les acides gras saturés ont le pouvoir d'augmenter le taux du cholestérol sanguin et surtout celui du LDL (le mauvais) et c'est l'une des principales causes de prise de poids et de mortalité. Il est donc important de les consommer en quantité limitée. Par contre, la consommation de graisses insaturées est bénéfique sur le plan de la santé car les acides gras poly-insaturés jouent un rôle sur l'agrégation plaquettaire, premier stade de la coagulation du sang. Ils jouent donc un rôle protecteur puisque c'est un caillot qui bouche une artère coronaire et créé un infarctus.

Les corps gras formés d'acides gras saturés (beurre et graisses animales) sont solides à température ambiante, tandis que les huiles contiennent beaucoup d'acides gras insaturés et sont donc liquides à température ambiante. A noter cependant que les margarines contenant des matières grasses hydrogénées (ou trans) sont aussi néfastes que le beurre car ces acides gras trans se comportent dans notre organisme comme s'ils étaient des acides gras saturés. Ils diminuent le "bon" cholestérol (HDL) et augmentent le "mauvais" cholestérol (LDL).

Les acides gras Oméga-3 (acide alpha linolénique) et Oméga-6 (acide linoléique) font partie de la famille des acides gras poly-insaturés essentiels. Ils sont dits «essentiels» parce que le corps n'en fabrique pas et qu'ils sont nécessaires à son développement et à son fonctionnement. Il est donc primordial de les obtenir par le biais de l'alimentation.

Les graisses alimentaires se différencient les unes des autres par la nature de leurs acides gras mais aussi par les proportions dans lesquelles elles sont associées. L'intérêt nutritionnel réside donc dans cette répartition.

Dans une alimentation équilibrée, on estime que les lipides doivent fournir 30 à 35 % de l'apport énergétique total (AET) avec une répartition quotidienne de :
 1/4 d'acides gras saturés soit 7,5 % de l'AET ;
 1/2 d'acides gras mono insaturés soit 15 % de l'AET ;
 1/4 d'acides gras poly insaturés soit 7,5 % de l'AET dont 0,5 % à 1 % d'oméga-3.

Ce taux est très facilement dépassé et avoisine les 40 %, car les lipides ne sont pas toujours visibles et le mode de vie actuel fait que l'on remplace plus facilement les aliments de base par des aliments plus élaborés, plus riches en graisses et en glucides comme les pâtisseries, viennoiseries, quiches et autres plats cuisinés. Il serait souhaitable de réduire la consommation de ces aliments et d'augmenter la consommation de poissons et d'huiles végétales riches en acides gras insaturés. Il est également intéressant d'augmenter les apports en légumes et fruits sources de vitamines, de composés antioxydants (polyphénols) et de fibres alimentaires qui ont un rôle bénéfique dans le métabolisme des lipides et des glucides, et donc dans la diminution du risque d'apparition de pathologies cardio-vasculaires.
Les apports conseillés en lipides varient en fonction de l'âge et du sexe. Ils sont par jour pour les enfants de 1 à 3 ans de 38 à 44 g, pour les enfants de 4 à 6 ans de 48 à 56 g, pour les enfants de 7 à 9 ans de 64 à 74 g, pour les adolescents de 68 à 79 g, pour les hommes de 90 à 105 g, pour les femmes de 74 à 84 g et pour les personnes âgées de 56 à 66 g.
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De formation scientifique en tant que technicienne de laboratoire, je me suis orientée vers la diététique par passion. Actuellement diététicienne en libéral en Ile de France.

http://balade-en-dietetique.wifeo.com/index.php

Source: http://www.contenulibre.com/67-nutrition

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